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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 07:32

KLEBER MESQUIDA FOSSOYEUR DES HAUTS CANTONS

 

 

« Je serai présent pour défendre ce territoire »

Kléber Mesquida, le soir de son élection de député (2002). (C’est sûr, on l’a vu à l’oeuvre)


NOUS ACCUSONS


Kléber Mesquida, fossoyeur des Hauts Cantons


- d’avoir été le promoteur du projet de CSDU de Tanarès, au profit de la pieuvre SITA-Suez et
d’avoir toujours nié le fait.


- d’être le député, héraut du Parti socialiste qui a fait voter l’article 4 de la loi du 23 février 2005
imposant les « bienfaits de la colonisation » ; qui voulait, dans la foulée, déclarer « morts pour la
France » des rebelles à la loi républicaine (rue d’Isly à Alger à l’appel de l’OAS, mars 1962) et
ne pas avoir depuis fait son autocritique sur le sujet, comme la direction de son parti l’a fait.


- de n’avoir fait que des lettres et aucun acte concret, palpable pour défendre les services publics
en très grand danger, dans les Hauts Cantons (bureaux de poste, tribunal d’instance, hôpitaux de
Saint-Pons et de Bédarieux, Lycée Jacques Brel…).


- d’être sourd à tous les appels :


             - celui d’organiser des référendums d’initiative populaire sur l’éolien industriel ;
             - celui d’accepter d’étudier des pétitions sur des sujets sensibles de sécurité publique sans
             donner suite ;
             -  celui de donner un accord à l’alternative de traitement des déchets par compostage rustique,
             conception anticapitaliste, à taille humaine, écologique et créatrice d’emplois… également
             sans donner suite
              -  d’avoir fait imploser le Parc Naturel Régional, de concert avec ses deux nobliaux niquedouilles
              Arcas et Vialelle qui, par leur politique cupide de l’éolien industriel, ont créé une redoutable crise
             entre élus et avec les populations, le Parc risquant tout simplement de perdre son label. On remerciera
             cette troïka infernale !


(suite du n° 61 du 21 janvier 2007, écrit à la veille , comme aujourd’hui, des élections législatives.
Pour mémoire, Mesquida avait porté plainte pour diffamation et avait perdu son procès)


- d’avoir fait élire Raymond Couderc, UMP, sénateur, et cela contre la candidate de son parti,
à des fins d’intérêt personnel et clanique, en réglant ainsi des comptes minables avec Georges Frêche
et son essaim de Montpellier.


- d’avoir, par la délation et son fichage/flicage systématique, provoqué « l’affaire du corbeau de
St-Pons ». Il a livré en pâture à la police sous pression et aux médias appâtés ses opposants,
pour les éradiquer, aussi pour protéger le M.I.L. de son copain frangin, le député réactionnaire
Aboud. Sale bavure qui a entraîné de sévères problèmes aux victimes de la rafle policière et ridiculisé
les forces de l’ordre. Cette vile méthode mesquidienne est digne d’un régime du genre Ben Ali.


- d’avoir, par son désintérêt et son inaction, fait de Saint-Pons, sa ville, un désert où les commerces
ferment un à un et dont la population fuit vers les autres villages et c’est le seul chef-lieu de canton
qui perde de la population.


-  d’avoir un orgueil démesuré, et de bafouer et de dénaturer les idéaux du parti socialiste par ses manières
de faire et ses prises de position qui se situent radicalement à l’opposé de la social-démocratie
et de la sociale.

Liste non exhaustive…

Pierre Blondeau du Collectif éditorial

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